Métropole et chasse à l’automobiliste

Ainsi l’hôtel Métropole, fleuron de l’hôtellerie bruxelloise et lieu mythique qui a servi de décor à tant de films d’audience internationale, va devoir fermer ses portes. Entraînant 129 emplois dans sa chute.

 

Évidemment, cette catastrophe sociale, économique et culturelle a été imputée à la crise du coronavirus. Ce qui est ARCHI-FAUX. Le Métropole a été assassiné par l’horrible piétonnier voulu par l’ancien bourgmestre PS, Yvan Mayeur, l’homme qui s’enrichissait sur le dos des plus pauvres.

Hôtel Métropole, fleuron de l’hôtellerie bruxelloise, Place de Brouckère - Photo : Marc Smits

La baisse de fréquentation du Métropole a été concomitante au début des travaux du piétonnier, cet agora crasseuse et paradis des dealers de drogue. Quel client sensé allait se perdre dans un chantier interminable, à un endroit inaccessible en voiture, sale et bruyant la journée et coupe-gorge une fois la nuit tombée ?

Devant l’hémorragie de la clientèle causée par les travaux du piétonnier, au fil des années, les réserves financières de l’hôtel ont fondu comme neige au soleil et manqué au moment où il fallait passer le cap de la crise du corona. Si l’entreprise n’avait pas été ravagée par cet aménagement ridicule, le Métropole aurait pu survivre à la crise actuelle.

Ce piétonnier, coûteux, dangereux et inutile, s’inscrit dans la volonté politique de autorités bruxelloises (tant communales que régionales) de chasser l’automobiliste de la ville. Voulant ainsi, de manière totalitaire, obliger les gens à employer les transports en commun (pas toujours très sécurisés) et le…vélo.

Le choix entre les transports en commun et le…vélo - Photo : Marc Smits

Ce qui vient de conduire à une situation aussi absurde que criminelle. Alors que tous les responsables des services de santé recommandent d’éviter, autant que faire se peut, d’utiliser les transports en commun, qu’une partie des conducteurs de la STIB se mettent en « droit de retrait », craignant pour leur santé, voilà que les autorités bruxelloises réduisent massivement les voiries pour construire d’urgence 40 km de pistes cyclables. Au lieu de faciliter au maximum la circulation automobile et d’encourager les citoyens qui disposent d’une voiture à l’utiliser ; le risque de transmission du virus y étant quasi-nul.

S’il y a un nouveau pic d’épidémie dans la capitale belge, ces fanatiques anti-automobiles en porteront une partie de la responsabilité. Pour mémoire, la majorité régionale est composée des partis suivants : PS, Ecolo, Défi, Groen, Sp.a et Open VLD. A bien mémoriser…

J.O.

Reportage photos